À Salaberry-de-Valleyfield, le 18 août 2022, à l’âge de 88 ans, est décédé M. Marcel Brisebois, résidant à Salaberry-de-Valleyfield. Il laisse dans le deuil son cousin Nelson et sa conjointe Ginette Chatel, son filleul Marc-Nelson, sa très appréciée dame de compagnie Corrine, ses très nombreux précieux et fidèles amis de Valleyfield, Montréal, Toronto, Canne, Paris, Moscou. La famille recevra les condoléances le samedi 1er octobre de 9h à 10h45 au Complexe funéraire J.A.Larin & Fils, 317, rue Victoria, Salaberry-de-Valleyfield, Québec. (450) 373-3636 www.jalarin.com Les funérailles suivront à 11h en l’église Basilique-Cathédrale Ste-Cécile, 11, rue de l’Église suite 128, Salaberry-de-Valleyfield. Inhumation Cimetière de Valleyfield.
Jean Pierre Filiatrault says
Nos plus sincères sympathies à toute la famille, spécialement Nelson et sa conjointe Ginette Chatel.
Vicky Bolduc says
Nous vous souhaitons nos plus sincères condoléances. De toute l’équipe de nuit du Centre Victor-léger.
Marie-Pier Daigneault says
Mes sincères sympathies a toute la famille ainsi à Corrine. Je vais garder un bon souvenir de vous M. Brisebois.
Bruno Messier says
Marcel,
Tu as été le premier et le seul a me donner ma chance, je ne l’oublierai jamais. Reposes en paix.
Bruno
Duguay Manon says
De la part des PAB de Victor Léger nos plus sincères condoléances. À la famille
Nicolle Laforest et Jean Duhamel says
Mon époux se joint à moi pour t’offrir Nelson ainsi qu’à Ginette et ton fils Marc nos plus sincères condoléances. Nos pensées sont avec vous
Claudette Villeneuve et Sylvie Kane says
Nos condoléances à Nelson, Marc ses amis, et les sœurs Clarisse, en pensée avec vous en ce dure moment courage
Louise Monette notaire says
Mes plus profondes condoléances Ginette et mes meilleures pensées en ces pénibles moments.
Claudette Villeneuve et Sylvie Kane says
Nos condoléances à Nelson et Marc, amis et les sœurs Clarisse sommes en pensée avec vous en ce moment si dure, courage
Caroline Lessard says
Mes plus sincères condoléances
Lise Daoust says
J’offre mes sympathies à Nelson et Ginette.Il fut mon enseignant au cégep.
Maher Younsi says
R.I.P , Marcel Brisebois .
Bernard Dupuis says
J’offre toutes mes condoléances aux parents et amis.
Il reste pour moi une personne très cultivée et talentueuse. Il aura marqué mon admiration pendant de nombreuses années. D’abord, de 1966 à 1985, par les émissions comme 5D et Rencontres à Radio-Canada. Il fut un excellent communicateur. Ensuite comme secrétaire général du Collège qu’il quitta en 1985. Il fut un excellent administrateur.
Bernard Dupuis, professeur de philosophie, retraité.
Louis-Martin Ouellet says
J’ai fait la rencontre de Marcel alors que j’étais étudiant au Cégep de Valleyfield et lui Secrétaire-général. Il a été très présent dans mon cheminement académique au Cégep mais par la suite à l’Université. J’ai apprécié son ouverture, sa patience et sa perspective sur les grands enjeux de société. Je le considèrerai toujours comme une personne importante et influente. J’offre mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Kelly guillemette says
Mes plus s’insèrent condoléances à toute la famille sa été un plaisir de prendre soins de monsieur
Catherine Blouin says
Mes plus sinceres condoléances à la famille.jai de beaux souvenirs de nos discussions lorsque je travaillais residences 4.saisons
Repose en Paix
Réjean Bourdeau says
Merci, mon très cher Marcel, pour tout le savoir transmis.
Nos condoléances à la famille.
Réjean Bourdeau et Brigitte Leblanc
Marie-Paule et André Maheu says
Tout d’abord MERCI, pour votre accueil l’abbé au centre de soins, merci de m’avoir invité à partager avec vous, Le Père vous accueille et vous invite à faire partie de la Communion des saints.
Nos plus profondes sympathies et sincères condoléances
Je ne peux que penser à l’Évangile des talents,
Benoit-Marc. says
Bonjour,
Apprenant le décès de l’abbé Marcel Brisebois, je tiens à transmettre mes plus vives condoléances.
Je conserve un excellent souvenir des échanges épisodiques que nous avons pu avoir.
M’unissant de coeur aux personnes qui vous manifesteront leur solidarité en ces moments, je célébrerai une messe.
Avec mon amitié et ma prière,
Benoît-Marc +
Raymond Paul says
Marcel Brisebois a incarné pour moi l’image d’un intellectuel de pointe, de grande culture dont l’érudition ne bloquait pas une communication simple et chaleureuse. Il fut un modèle qui me poussa à faire des études universitaires poussées et à devenir enseignant en littérature au cégep E. Montpetit à Longueuil. Mes condoléances à la famille ainsi qu’à ceux et celles qui ont eu le privilège de le connaître et de le fréquenter.
Alphonse Caron says
Je veux offrir mes plus sincères condoléances à tous ceux que le départ de Marcel afflige.
Pendant huit ans alors qu’il était secrétaire général du CEGEP de Valleyfield ,j’ai pu profiter de sa sagesse et. de ses judicieux conseils en tant que directeur général du CEGEP.
Cet homme restera inoubliable.
Alphonse Caron , directeur de 1978 à 1986.
Bianka levesque says
J’ai été choyer de prendre soin de vous, vos » je vous aimes, vous etes bonne pour moi » vont me manquez, je vous aime aussi et vous pouvez vous reposez en paix maintenant !
Mes sinceres condolénces a toutes la famille et amies !
Gilles Bonin et André Boulerice says
Nous offrons nos sincères condoléances à la famille et aux proches de Marcel, un ami très cher. Nous garderons de lui un souvenir marquant.
Loyola Leroux says
Décès de Marcel Brisebois.
Mes condoléances à la famille.
Hommage d’un ancien étudiant.
Marcel Brisebois a été mon premier professeur de philosophie au Collège de Valleyfield en 1967. Il m’avait suggéré pour mon travail de session d’analyser l’‘’Introduction à la métaphysique’’ de Heidegger et la grande question ‘’Pourquoi y a-t-il l’étant et non pas plutôt rien ? ’’ Les 50 premières pages du livre expliquaient le sens du mot ‘’étant’’ ! Il est considéré comme le plus grand philosophe du XXe siècle.
Pour nous qui arrivions de la campagne autour de Valleyfield, moi du petit village de Pointe-des-Cascades, le fait de voir un prêtre porter le collet, non romain, mais mao et d’assister à ses cours était impressionnant. Il nous parlait de ses voyages en Europe, de ses amis et amies assez olé, olé. C’était d’autant plus surprenant pour nous, parce que son père était concierge au Collège de Valleyfield où j’étais pensionnaire. Je discutais avec lui de temps à autre. Les deux hommes étaient intéressants. Marcel Brisebois nous ouvrait sur le monde.
J’ai souvent eu la chance d’échanger avec lui, Jacques Lavigne et Hubert Doucet – lui aussi un prêtre – ainsi qu’avec plusieurs autres professeurs, le soir après les cours. J’étais pensionnaire au collège, nourri, logé. A chaque 10 chambres d’étudiants se trouvait celle d’un professeur, toujours disponible pour jaser, et surtout nous écouter. Ces rencontres impromptues m’ont beaucoup aidé.
Après avoir enseigné la philosophie au Cégep de Saint-Jérôme pendant 36 ans, un bac, une maîtrise, une scolarité de doctorat, un certificat en pédagogie et un en étude de la langue chinoise, je me rends compte de la qualité des cours et de nos professeurs du Collège de Valleyfield. Nous étions peu nombreux et la qualité de leur enseignement déterminait tout.
En 1970, j’ai été arrêté pour vente de marijuana. Pour préparer ma défense, je lui avais demandé une lettre de référence. Connaissant bien son milieu – très conservateur – et le juge Perron, il avait fait signer la lettre d’appui par l’évêque Mgr Guy Bélanger. Ce dernier avait été le Dg du Collège lors de mes études. Lors de mon procès, un autre de mes professeurs de philosophie, Jacques Lavigne, rejeté du département de philosophie de l’UdM, a présenté cette lettre à la cour et à livrer un vibrant témoignage en ma faveur.
En lui demandant cette lettre, je lui avais dit : ‘’Je n’ai jamais rien fait pour vous, mais pourriez-vous m’aider ?’’ Il m’avait répondu : ‘’L’an dernier, vers 23h devant le terminus d’autobus de Valleyfield, tu m’as vu marcher, tu avais immobilisé ton véhicule – ma Coccinelle jaune pâle – pour me parler. Je t’avais dit «je viens de manquer mon autobus, j’ai un rendez-vous important demain matin ‘’ et tu m’avais offert de venir me déposer à Montréal.’’ Nous avions eu la chance de discuter.
Jean Wilkins says
Servant de messe à la Cathédrale au milieu des années 1950, je me souviens du Séminariste Marcel Brisebois que l’on voyait le dimanche à la grande-messe. Il était un exemple de piété, d’engagement dans la prêtrise et il semblait tellement heureux et fier de ce qu’il devenait. Je n’ai pas toutefois bénéficié de son enseignement au Collège mais ses émissions de télé autour de Rencontres et de réflexions avec les grands de ce monde furent très enrichissantes pour moi. Son engagement dans la vie publique a été d’une grande exemplarité et sa contribution à l’Art Contemporain unique. L’Abbé Marcel Brisebois aimait le beau, le raffinement, il avait cet élégance dans son écoute et son regard. J’ai malheureusement raté une dernière rencontre avec lui, il m’avait transmis son numéro de cellulaire, je devais passer le visiter et je suis triste de l’avoir manqué, retenons le personnage brillant, engagé, original, démesuré parfois, mais le modèle humain si riche que tu fus pour nous tous. Merci!
bernard bujold says
Marcel Brisebois était un homme d’envergure et de société!
Chaque fois que je passe devant le Musée d’Art contemporain de Montréal, je pense à lui…
Bernard Bujold – journaliste
Jean-Paul Daoust, poète. says
Je suis très peiné d’apprendre le décès de Marcel B. Je le connaissais depuis l’adolescence et il a toujours été, au fin des ans, une inspiration. C’était un homme à la recherche de la Beauté. J’espère qu’il l’a trouvée!
Condoléances à toute la famille, et à tous ceux et celles qui l’aimaiennt.
Erica Claus says
Mes condoléances à toute la famille et les chers amis appréciés de Marcel. J’ai eu le privilège de travailler et de collaborer avec lui pendant 3 ans à la Commission canadienne des biens culturels. Durant cette période nous avons échanger et discuter de sujets vaste d’envergure, tous jours en profondeur. Nous avons aussi eu des discussions personnelles durant les quels il mentionnait la famille de son cousin à Paris et surtout son filleul. Enfin la paix pour Marcel.
Claude Guérin says
En novembre 1987 je rencontrais comme nouvel employé Marcel Brisebois, directeur du MAC. Très impressionné pour ne pas dire fasciné par son érudition, ma gêne de ne pas être à la hauteur s’est volatilisés en quelques minutes. Oui son rire et son humour me manquent aujourd’hui. Marcel Brisebois a été ce directeur dont la porte était toujours ouverte. Passionné, théâtral pour notre bon plaisir, Marcel Brisebois semblait animé par une curiosité intellectuelle sans fin. Merci à vous Marcel de m’avoir permis de vivre des moments inspirants, riches impérissables. Mes pensées vont à sa famile et amis.
Jacques Wilkins says
J’ai des souvenirs heureux de cet homme. Il a accompli de grandes choses sur le plan de l’enseignement, de l’engagement religieux, de la spiritualité, du plaisir de discuter, de cultiver l’enchantement, l’émerveillement. Il avait l’art de faire des homélies simples et éclairantes à la messe du dimanche chez les Clarisses de Valleyfield pendant plus de vingt ans. Jeunes, nous étions fiers de le voir à la télévision diriger des entrevues avec des grands penseurs de l’époque. Monsieur l’abbé Brisebois, je vous salue et vous remercie de votre engagement.
Jean-Guy Gougeon says
Sincères condoléances à la Famille éprouvée. D’un collègue du temps du Séminaire de Valleyfield.
Manon Ouellet says
Mes plus sincères condoléances à Nelson et Ginette ainsi qu’à la famille .
Marcel Socqué says
J’ai connu Marcel Brisebois lors de sa participation dans les années 60 à des émissions de télévision portant sur le Concile. Déjà, il était un maître dans la façon de conduire des entrevues. J’ai ensuite pu davantage apprécier son érudition et son humanisme dans le cadre des émissions Rencontre à Radio-Canada.
À l’été de 1967, je l’ai rencontré pour la première fois à son appartement de la rue Bonaparte à Paris. J’accompagnais ma copine, Claudette Dubé, qui avait eu le bonheur de suivre des cours de philosophie du professeur Brisebois. Pendant notre séjour à Paris, il a eu la générosité de nous faire découvrir cette superbe ville et de nous introduire à une partie de son réseau parisien. Ensuite, nous avons traversé avec lui la France de Paris à Perpignan. Nous avons découvert en route les châteaux de Chenonceaux, Azay-le-Rideau et Chambord. Montauban et Cahors se sont ajoutées au circuit. Sa fine connaissance de la France nous a permis de visiter, à Saint-Michel-de-Cuxas, un monastère de marbre rose du IXè siècle. Enfin, Marcel Brisebois nous a accompagnés jusqu’à Nice. Assez fascinant pour deux jeunes, encore étudiants, amoureux de la France….À l’été de 1968, l’abbé Brisebois à célébré notre mariage à la chapelle du Séminaire de Valleyfield. Nous nous estimons privilégiés que Marcel Brisebois ait pu faire partie, aussi près, de notre parcours.
Sincères condoléances à tous ceux et celles qui l’ont connu, apprécié et aimé.
Danielle Legentil says
La famille du MAC est en deuil. M. Brisebois, comme on l’appelait, nous a quittés. Philosophe, théologien, historien d’art, humaniste, communicateur, muséologue et gestionnaire, son érudition et son intelligence impressionnaient. Sa contribution exceptionnelle au milieu culturel fut salué par les prestigieux: Ordre national du Québec, Ordre du Canada, Ordre de la légion d’honneur.
Il a dirigé le MAC pendant près de vingt ans, ayant à coeur son développement et son accès à tous. Je l’entends encore nous dire que le Musée est un « Learning Center ». Mais ce que retiendront ses employés, ses collègues aurait-il corrigé, c’est sa grande humanité, une leçon de ressources humaines à méditer. Tous les jours, lorsqu’il croisait un employé, il lui tendait la main avec un « Comment allez-vous? ». En tout temps, vous pouviez prendre rendez-vous avec lui pour discuter, voire contester une décision ou lui faire part d’un projet, d’une idée. Malgré la lourdeur de sa tâche, son horaire chargé, il trouvait toujours du temps pour nous rencontrer. Nous avons vécu au cours de ces années tant de défis professionnels, tant d’événements inoubliables, tant de passages personnels. Marcel Brisebois était toujours là, à la barre du navire, à nos côtés. M. Brisebois, nous vous rendons hommage « Ô Capitaine! Mon Capitaine! ».
Louise Blouin says
Cousin Nelson
C’est avec infiniment de regret et de tristesse qu’il nous sera impossible
d’assister aux funérailles de notre cher ami Marcel Brisebois.
Le COVID ne nous laisse pas d’autre choix.Nous serons avec vous de tout cœur en pensées et dans nos prières.Ce que vous avez fait pour lui est
admirable.
Louise et Michel Blouin
pensée et en prière
Monique Legault says
Mes condoléances à la famille de l’abbé Marcel Brisebois et ses amis ainsi qu’à la population campivalencienne. Mgr Robert Lebel, lui avait demandé d’être président du comité des fêtes du Centenaire du diocèse de Valleyfield car il connaissait ses talents de communicateur et il accepta malgré ses nombreuses occupations surtout comme directeur de la MAC, organisme qui reliait tous les musées du Québec. Plusieurs se souviennent de ses conférences à la radio d’état ainsi que son émission RENCONTRES à la télévision dans les années 70… Il a même eu des invités d’Europe car les sujets étaient d’ordre religieux (ex: sur le Concile Vatican 11, l’abbé Pierre de France, sur l’importance d’être reconnu par l’Exposition Universelle de 1967 : Terre des Hommes, sur les arts, sur l’écologie et l’environnement.
En 1992, au centenaire du diocèse il s’est entouré de collaborateurs et les activités ont été nombreuses et variées. Il avait demandé un chant du compositeur l’abbé Robert Lebel; Des champs et des vallées, s’élève une prière, c’est Fête en notre Église. Des personnes m’ont appris que les adeptes francophones du compositeur Robert Lebel le chantent lors de fêtes dans leur paroisse partout au Canada. Ce sont mes condoléances mais aussi la reconnaissance de ce que l’abbé Marcel Brisebois a apporté à la culture au Québec.
Monique Legault
Suzanne Lemire says
Bonjour à la famille et aux amis nombreux de monsieur Brisebois qui voulait tant que nous l’appelions Marcel,
J’ai été moi-même une amie et collègue de travail pendant près de 20 ans au MACM.
Je faisais partie de la « grande famille du Musée » et j’étais présente lors de son arrivée au Musée de la Cité du Havre et son dernier jour au Musée au centre-ville.
Durant ces 20 belles années, j’aimerais témoigner de l’humanité qui émanait de l’ homme, sa compassion .La personne était au cœur de sa gestion en tant que grand Directeur du Musée.
Au lendemain de son départ du Musée ,Marcel me téléphone pour me dire: « Eh bien je vous ai à l’œil madame Lemire, je suis le nouveau président de la Commission canadienne des biens culturels, tenez -vous sur vos gardes et que vos dossiers soient irréprochables à la Commission «
Voilà, c’est comme cela que j’ai continué à être en relation avec monsieur Brisebois puisque j’étais responsable de tous les dossiers de dons d’œuvres envoyer à la Commission.
Dernièrement,grâce à une amie du Musée, nous sommes allés à sa rencontre dans sa dernière maison et nous avons bu un champagne en nous remémorant de bons coups au Musée .
Merci de tout cœur monsieur Brisebois pour m’avoir permis de m’épanouir professionnellement et humainement. Je vous en serai éternellement reconnaissante. Reposez en paix et veillez sur mon , cette fois-ci c’est moi qui vous le demande.
Abbé Laurier Farmer, confrère says
À mon confère, l’Abbé Marcel Brisebois, dont j’ai toujours apprécié et admiré les charismes exceptionnels de communicateur et tout le professionnalisme de l’ensemble de sa carrière, je tenais, par cette communication, à offrir mes sincères condoléances à sa famille et ses proches. Désolé, de ne pouvoir participer à ses funérailles de 11h en présence et collégialité avec notre évêque et mes autres confrères. Cela, hélas, en raison d’un engagement à célébrer des funérailles à 12h30 dans ma région, en l’église de Sainte-Anne-de-Bellevue. Toutes mes excuses.